Les horloges, poème d'Emile Verhaeren - poetica.fr

Les horloges et leur effroi ; Les horloges Volontaires et vigilantes, Pareilles aux vieilles servantes Boitant de leurs sabots ou glissant Les horloges que j’interroge Serrent ma peur en leur compas. Emile Verhaeren, Les bords de la route . Imprimer ce poème. Catégories Emile Verhaeren, Objets.

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